« Face à la mer » le 4 décembre !

Le prochain séminaire « Face à la mer » Actualité de recherches archéologiques littorales et marines d’Europe et au-delà, se déroulera le 4 décembre à la salle de conférence de l’OSUR sur le campus de Beaulieu.

Le programme prévisionnel :

  • Cyrille Billard, Stéphane Lamache, Benoit Labbey, Michel Besnard, Jean-Luc Leleu, Marie-Laure Loizeau, Anne Ropars : « Le littoral : une frontière convoitée. Une nouvelle approche des vestiges de la Seconde Guerre mondiale en Normandie ».
  • Cécile Alline : « Exploiter les coquillages marins (pourpres, patelles, bigorneaux, moules) à l’époque romaine : le cas de Commes ».
  • Vivien Mathé : « Entre vase et sel : contributions de la géophysique à la recherche archéologique littorale ».
  • Jean-Marc Large, Axel Levillayer, Catherine Moreau, Thomas Vigneau, avec la collaboration de Catherine Dupont, Claira Liétar, Yann Le Jeune : « Actualité de l’archéologie littorale en Loire-Atlantique et en Vendée : focus sur l’île Dumet ».
  • Annabelle Chauviteau-Lacoste, Delphine Linard : « Le Cimetière des Noyés de la côte Noroit, l’Île d’Yeu (Vendée) ».
  • Olivia Hulot : « Au fil de l’eau : actualité récente du Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines ».
  • Aurélia Borvon : « Poissons et crevettes du port romain de Ratiatum (Rezé, Loire-Atlantique) : espèces consommées, sauces et techniques de pêche ».
  • Marie-Yvane Daire, David Aoustin, Vincent Bernard, Louis Dutouquet, François Le Gall, Chantal Leroyer, Dominique Marguerie, Chloë Martin, Laurent Quesnel ! « Archéologie sur l’estran : approche interdisciplinaire du site de la plage de Plougasnou-Saint-Jean-du-Doigt (Finistère) ».

Retrouvez les résumés ici !

Séminaire sur « l’exploitation du sel au cours de la Protohistoire » le 29 novembre 2017 à Nantes

Le 29 novembre 2017, nous allons participer au séminaire L’exploitation du sel au cours de la Protohistoire organisé par Sylvie Boulud-Gazo et Julie Remy. Il se déroulera à l’Université de Nantes, dans la salle de conférence du bâtiment Censive.

Notre présentation portera sur « L’érosion sur les ateliers de bouilleurs de sel breton : apport du projet ALeRT sur des sites menacés ». Retrouvez ici les différentes communications de la journée.

Journées nationales de l’archéologie 17-18 juin

Pour les Journées nationales de l’archéologie (17-18 juin), le projet ALeRT sera présent à la manifestation culturelle « Il était une fois le métal… » à Locronan (Finistère), sous l’égide de l’association Ar seizh metal. Le programme est très divers, avec des conférences, des démonstrations, des expositions… Retrouvez le ici !

Venez nombreux !

Journées du CReAAH les 12-13 mai 2017

Chaque année, le CReAAH (Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire) organise des journées informant des derniers résultats de l’UMR. Elles se tiendront les vendredi et samedi 12 et 13 mai 2017 dans l’amphithéâtre Louis-Antoine, bâtiment 2A sur le campus de Beaulieu à Rennes.

Nous présenterons la communication : « ALeRT – L’archéologie littorale versus l’érosion. Chronique 2016-2017 » qui sera l’occasion de faire le bilan d’un an de travail du projet ALeRT et du soutien de la Fondation de France.

« Le littoral morbihannais : le projet ALeRT au chevet d’un patrimoine menacé », le 3 juin à la SAHPL

Le 3 juin 2017, nous présenterons le projet ALeRT à la Société d’Archéologie et d’Histoire du Pays de Lorient :

Le projet ALeRT (Archéologie, Littoral et Réchauffement Terrestre), créé en 2006 dans le cadre du CReAAH (Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire) s’intéresse à la vulnérabilité du patrimoine culturel côtier face aux effets des changements climatiques et de la pression anthropique sur le littoral. Il est actuellement soutenu par la Fondation de France (2016-2018) : « Quel devenir pour le littoral Manche-Atlantique et son patrimoine ? Apport de l’interdisciplinarité et de la science participative ».

Ce projet a de multiples objectifs, dont le développement d’aide à la priorisation des actions sur le terrain sur ces sites littoraux menacés de disparition, de dresser un état sanitaire du patrimoine littoral, ou encore de sensibiliser la communauté scientifique et le grand public à cette problématique en les invitant à participer à la démarche.

Après une présentation de ce projet, nous verrons comment 10 ans d’ALeRT ont permis de montrer l’importance de ce patrimoine côtier et surtout de sa vulnérabilité à travers des exemples à l’ouest de la presqu’île de Quiberon. Nous insisterons particulièrement sur l’île de Groix qui fait l’objet d’un suivi régulier de la part des archéologues, mais aussi d’amateurs qui ont permis la découverte de nombreux sites archéologiques.

« Archéologie du littoral en Cornouaille. Témoignage patrimonial de la montée du niveau marin », le 15 mai au Musée de Penmarc’h

Le 15 mai 2017, nous présenterons le projet ALeRT en parallèle avec les études menées dans le cadre du projet Arch-Manche pour la Cornouaille, au Musée de Penmarc’h.

Présentation aux 6èmes journées littorales de la Fondation de France

« Dans le cadre de l’animation scientifique de l’appel d’offres « Quels littoraux pour demain ? », le programme Environnement de la Fondation de France organise les 6èmes Journées littorales de la Fondation de France regroupant les lauréats dont le travail est en cours ou vient de s’achever.
Les chercheurs et leurs partenaires présenteront l’avancement de leurs travaux et échangeront avec les autres lauréats. »

Le projet ALeRT sera présenté le 29 mars, avec la communication « Quel devenir pour le littoral Manche-Atlantique et son patrimoine ? Apport de l’interdisciplinarité de la science participative »

Retrouvez ici les informations

« Entre Mer et Océan : archéologie et paysage littoral », du 4 au 6 mai (Empúries, Espagne)

« Ce colloque est une rencontre scientifique inter – nationale et “inter – littorale” sur la question de l’archéologie des peuplements littoraux et des paysages côtiers depuis la préhistoire jusqu’à nos jours. L’un des défis principaux de la recherche actuelle en archéologie et pour les patrimoines (archéologique, géomorphologique, naturel) littoraux est l’érosion des côtes et le risque de destruction du patrimoine culturel. À l’échelle européenne plusieurs initiatives ont mis en évidence la vulnérabilité du patrimoine face aux effets du changement climatique et la pression anthropique. La conservation et la mise en valeur de ce patrimoine fragile sont des défis de cette génération. Tout projet nécessite d’abord une meilleure connaissance des dynamiques d’occupation du littoral, et un partage des expériences et des solutions des différentes équipes internationales. »

Comité organisateur :

Dr. Pau Olmos Benlloch, Institut Català d’Arqueologia Clàssica

Dr. Pere Castanyer Masoliver, Museu d’Arqueologia de Catalunya-Empúries

Dr. Benoît Devillers, UPV-UMR 5140 Archéologie des Sociétés Méditerranéennes, Montpellier

Dr. Jordi Principal Ponce, Museu d’Arqueologia de Catalunya

Retrouvez ici le programme

« Le littoral morbihannais : le projet ALeRT au chevet d’un patrimoine menacé », le 13 septembre à la Société Polymathique du Morbihan

Le 13 septembre, nous présenterons le projet ALeRT ainsi que les recherches et les études menées sur le littoral morbihannais depuis plusieurs années, à la Société Polymathique du Morbihan.

Le projet ALeRT (Archéologie, Littoral et Réchauffement Terrestre), créé en 2006 dans le cadre du CReAAH (Centre de Recherche en Archéologie, Archéosciences, Histoire) s’intéresse à la vulnérabilité du patrimoine culturel côtier face aux effets des changements climatiques et de la pression anthropique sur le littoral. Il est actuellement soutenu par la Fondation de France (2016-2018) : « Quel devenir pour le littoral Manche-Atlantique et son patrimoine ? Apport de l’interdisciplinarité et de la science participative ».

Ce projet a de multiples objectifs, dont le développement d’aide à la priorisation des actions sur le terrain sur ces sites littoraux menacés de disparition, de dresser un état sanitaire du patrimoine littoral, ou encore de sensibiliser la communauté scientifique et le grand public à cette problématique en les invitant à participer à la démarche.

Après une présentation de ce projet, nous verrons comment 10 ans d’ALeRT ont permis de montrer l’importance de ce patrimoine côtier et surtout de sa vulnérabilité à travers des exemples à l’Est de la presqu’île de Quiberon. Nous insisterons particulièrement sur la presqu’île de Rhuys, qui était la « zone teste » du projet ALeRT et qui fait l’objet d’un suivi régulier de la part des archéologues, mais aussi d’amateurs qui ont permis la découverte de nombreux sites archéologiques.